Extrait de l'article :
Selon Grégoire de Tours et de son temps (fin du VIe siècle), la colline sous laquelle étaient enterrées les corps des saintes dont on avait perdu la connaissance, était si couverte d’épines, de sauvageons et de broussailles, qu’on n’en pouvait percer le buisson pour y aller. On racontait y voir de temps en temps paraître une lumière...