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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:25

Couverture28Extrait de l'article :

 

Endroit stratégique et constituant un enjeu militaire important, l’antique et belle cité de Thérouanne est prise d’assaut en 1553 par Charles-Quint, avant que l’Empereur n’y mette « tous au fil de l’épée, sans nul épargne ».

 

La mort de François Ier en 1547 n’avait point terminé le grand différend de l’Espagne avec la France, et Henri II avait hérité de la haine paternelle contre Charles-Quint, les Flamands étant constamment disposés à exercer toute espèce de ravages sur les domaines de leurs voisins. Au printemps 1553, l’armée ennemie...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:24

Couverture28Extrait de l'article :

 

Au XVIe siècle, Paré voulut montrer l’inefficacité du bézoard qu’un seigneur rentrant d’Espagne avait apporté à Charles IX, en l’administrant à un cuisinier destiné à être pendu pour vol, et à qui on promit la grâce s’il sortait indemne de l’expérience. Paré rapporte que « tost après, un apoticaire servant luy donna certain poison en potion, et subit...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:23

Couverture28Extrait de l'article :

 

Initialement importé d’Orient et naissant dans l’estomac d’une sorte de bouc, le bézoard, concrétion calcaire dont la puissance comme alexitère passe pour être admirable, est discrédité par Paré dès le XVIe siècle.

 

Tirant son origine de la langue hébraïque pour certains - on disait belzaar ou belzahard, mot formé des racines bel et zaar, signifiant ainsi maître ou vainqueur des poisons -, le mot bézoard aurait pour d’autres été pris aux Perses par les Arabes - albezahar était une expression par laquelle les Perses désignaient les corps...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:22

Couverture28Extrait de l'article :

 

En élevant les apprentis de leur métier au grade de compagnons, les chapeliers observaient des cérémonies considérées comme sacrilèges. Le logis où ils se réunissaient comportait deux chambres commodes et contiguës. Dans l’une ils dressaient une table, sur laquelle ils mettaient une croix, et tout ce qui sert à représenter les instruments...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:22

Couverture28Extrait de l'article :

 

Lorsque le droit de fabriquer des demi-castors fut reconnu par le gouvernement en 1734, ceux-ci avaient rencontré depuis plusieurs années des concurrents redoutables dans les caudebecs. Mais le souvenir de la persécution dont ils avaient été l’objet demeura vivace chez les Parisiens, et leur nom servit pendant longtemps à désigner toute marchandise de qualité inférieure...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:20

Couverture28Extrait de l'article :

 

Imposant moult années d’apprentissage et de compagnonnage, prohibant le colportage, les statuts de la corporation des chapeliers parvenue à monopoliser la confection des couvre-chefs, encadrent strictement la nature des étoffes employées, et sont à l’origine d’un affrontement avec l’Etat lorsqu’un maître ose concevoir les « demi-castors ».

 

Assigner une date précise à la corporation des chapeliers est ardu, son origine se rattachant évidemment à celle de la coiffure. Le métier se divisait autrefois en plusieurs branches répondant à autant de spécialités : les « chapeliers de fleurs » qui tressaient des couronnes et des chapels floris pour les deux sexes ; les « chapeliers de paon » qui employaient les aigrettes et les plumes d’oiseau ; les « chapeliers d’orfrois » qui travaillaient les coiffures de luxe...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:19

Couverture28Extrait de l'article :

 

Issu d’observations menées par Fougeroux de Bondaroy en 1787, le Mémoire sur la fusion de différentes substances vitrifiables, et particulièrement sur un verre connu sous la dénomination de Miroir de Virgile, nous apprend que ce dernier, faisant partie du trésor de Saint-Denis, pesait 15 kg dont près de la moitié en oxyde de plomb, était transparent, de forme ovale, long de 14 pouces...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:18

Couverture28Extrait de l'article :

 

S'aventurant à produire son propre cristal un siècle et demi après la mise au point fortuite de ce dernier en Angleterre, l’industrie verrière française s’illustre dans cet art distingué avec la cristallerie de Saint-Louis recourant à la houille pour chauffer ses fours, ou celle de Baccarat préférant le bois.

 

Le verre avait toujours été fabriqué avec du bois comme combustible lorsque, en 1635, on commença, dans certaines verreries anglaises, à le fondre avec de la houille, le recours au bois étant prohibé par l’Amirauté britannique afin de le réserver aux mâts des navires. On se servait d’abord de creusets découverts ; mais les vapeurs de la houille colorant le verre et lui donnant une teinte brune...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:17

Couverture28Extrait de l'article :

 

Au charivari des secondes noces succéda au XIXe siècle le charivari politique, dont un exemple retentissant fut l’aventure arrivée à Adolphe Thiers lorsqu’il se rendit à Aix le 24 avril 1832, et narrée par un journaliste du temps qui n’était pas impartial : « On avait appris seulement le matin son départ de Paris ; mais il ne fallait pas de grands préparatifs pour le fêter...

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:16

Couverture28Extrait de l'article :

 

Sauval nous apprend dans ses Antiquités de Paris qu’au XIVe siècle, « quand les veuves de la cour se remarioient, on leur faisoit des Charivaris ; ce qui est si vrai, ajoute-t-il, qu’à un Charivari que Charles VI fit à Paris en 1389 [lire 1392], lorsque Catherine, en grande faveur auprès de la reine, se remaria en quatrièmes noces, ce prince faillit être brûlé avec quatre autres ». Le Laboureur fournit plus amples détails sur ce Charivari qui se déroula...

 

 

 

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