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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:20

Couverture1Extrait de l'article :

 

Pharmacien de formation, Antoine-Augustin Parmentier renonça à bien des honneurs pour ne poursuivre qu'un seul but, essentiel à ses yeux : convaincre les Français des bienfaits de la pomme de terre, nourriture alors considérée comme n'étant « bonne que pour les cochons ». Envers et contre tous, il persévéra dans son combat, allant jusqu'à cultiver cette plante aux portes de Paris, dans une plaine réputée stérile.

 

Le corps des pharmaciens, qui a donné à la France et à l'Europe un si grand nombre d'hommes illustres, n'en présente peut-être aucun dont le nom mérite mieux d'être conservé dans notre mémoire que l'homme vénérable dont nous donnons ici le portrait. Il y a 200 ans, la pomme de terre était exclue de notre alimentation. C'est Parmentier qui a dissipé en France les préjugés enracinés contre la pomme de terre. Les agriculteurs croyaient qu'en la cultivant on nuisait à la terre, et tout le monde s'imaginait qu'en l'admettant au nombre des aliments on favoriserait les maladies et notamment la lèpre...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:20

Couverture1Extrait de l'article :

 

Vindicte populaire, difficultés financières des gouvernements post-révolutionnaires faillirent sonner le glas de cette admirable invention...

 

Quoi de plus naturel aujourd'hui, qu'un message écrit effectuant le tour de la Terre en quelques secondes. Les premiers télégraphes, ancêtres de l'Internet, furent pourtant brûlés à Paris en 1791, par un peuple méfiant qui menaça ipso facto la pérennité d'une des plus belles inventions du XVIIIe siècle. L'essor massif du télégraphe optique le dut à la ténacité et à l'ingéniosité de son inventeur, Claude Chappe. En 1800, incitant habilement la loterie à poursuivre l'implantation de lignes, il sauva d'une mort ingrate la télégraphie française qui avait évité à notre pays de sérieux déboires militaires.

 

Né en 1763 à Brûlon, dans le département de la Sarthe, Claude Chappe était neveu de l'abbé Chappe d'Auteroche, que son dévouement à la science a rendu célèbre. Il avait quatre frères. Ignace, l'aîné de la famille, Pierre, René et Abraham. Leur père, qui possédait une certaine fortune, leur donna une bonne éducation classique. Claude commença ses études au collège de Joyeuse, à Rouen, et il les continua à La Flèche, où l'on se souvint par la suite d'un ballon qu'il fit partir étant écolier. Au sortir du collège, Claude Chappe embrassa l'état ecclésiastique...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:19

Couverture1Extrait de l'article :

 

Longtemps considérée par nos ancêtres comme une plante aux vertus magiques et fabuleuses, la mandragore, surnommée « l'arbre à la face d'homme », suscitait également l'effroi.

 

La racine velue et quelquefois bifurquée de la mandragore l'a fait comparer, dès les temps les plus anciens, et chez tous les peuples, à un corps humain. Théophraste appelle cette plante anthropomorphon (à forme humaine), et Columelle la surnomme semihomo (demi-homme). Les Anciens la faisaient entrer dans la composition des philtres. Un « petit homme » aux pouvoirs magiques. Au Moyen Age, le mot seul de mandragore causait une sorte de frémissement. On ne pouvait songer au petit homme planté sans effroi...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:19

Couverture1Extrait de l'article :

 

Ou comment un pommier séculaire et baigné par la Seine, est entré dans la légende. Le bonhomme de Fatouville n'appartient pas à la race des hommes. C'était un phare végétal de plus d'un siècle, un vieux pommier respecté, dont voici la légende.

 

Vers 1730, la Seine, assure-t-on, vint à changer tout à coup son lit, et, pendant plusieurs années, le courant se porta vers la rive gauche, au lieu de se trouver, comme il est aujourd'hui, vers la rive droite...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:18

Couverture1Extrait de l'article :

 

L'article XXV de l'ordonnance de 1560 défendit aux habitants des villes, bourgs et villages, sous peine d'amende et de prison, d'aller boire ou manger dans les cabarets. Le commentateur place sous cet article les réflexions suivantes :

 

« Par la bonne providence de M. le premier président Mansencal, de M. Fabry, lors juge-mage, ceste ordonnance-cy fut publiée en la ville de Tholose, et par M. d'Aries, capitoul, et ses compagnons exécutée, peut avoir vingt et un ans, tellement que ceux qui estoient domiciliez, estans trouvez en cabaret ou taverne, de quelque qualité qu'ils fussent, estoient attachez à un poteau, par le col, en un carrefour, élevé pour ceste effect, aux fins de bailler exemple et d'intimider les autres...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:17

Couverture1Extrait de l'article :

 

En 1756, le jeu des pantins fut en France, et surtout à Paris, une véritable fureur : chacun avait son pantin dans sa poche, et l'on s'en amusait dans les salons, dans les spectacles et dans les promenades. On fit à cette occasion plusieurs chansons ; le refrain ordinaire était : Tout homme est un pantin.

 

On voulait dire par là que, comme ces petites figures se mettaient en mouvement lorsqu'on en tirait le fil, de même il n'y avait pas d'homme que l'ont ne pût mettre en jeu si l'on parvenait à toucher sa passion dominante, son goût particulier.Que Pantin serait heureux, s'il avait l'art de vous plaire !...

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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:16

Couverture1Extrait de l'article :

 

Un massacre qui révolta plus qu'il n'amusa. En 1425, pendant qu'une partie de la France était tombée momentanément au pouvoir des Anglais, après de longues et terribles guerres, on vit à Paris les habitudes, les coutumes et les jeux de la nation victorieuse prendre un instant faveur dans le peuple...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 12:35

Couverture1Extrait de l'article :

 

De véritables objets d'art contenant mille et un trésors. Le mot nécessaire est le nom moderne d'un genre d'objets d'invention fort ancienne, et dans la fabrication desquels les gaîniers ou écriniers du Moyen Age, pour ne pas remonter plus haut, mettaient un art tout au moins aussi ingénieux et délicat que ceux de nos jours.

 

Ils faisaient pour toutes sortes d'usages des boîtes ou étuis divisés en petits compartiments où la place était habilement ménagée...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 12:34

Couverture1Extrait de l'article :

 

Si les coiffures exagérées des femmes vers la fin du XVIIIe siècle et sous l'Empire prêtaient à sourire, elles n'avaient rien à envier à la mode masculine du siècle précédent, qui s'illustra par un engouement immodéré pour les perruques.

 

Quand on voit avec quelle simplicité les femmes se coiffent aujourd'hui, on a peine à comprendre comment, sur la fin du XVIIIe siècle, elles avaient été amenées à donner à leur coiffure des formes si extraordinaires et si démesurées. L'art d'un perruquier ordinaire ne leur suffisait plus, et il fallait y joindre celui du serrurier pour ajuster tous les ressorts de ces machines énormes qu'elles portaient sur la tête...


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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 12:34

Couverture1Extrait de l'article :

 

Du chapeau dont les dimensions prévenaient toute démonstration affectueuse, à la coiffure « à la chinoise s'apparentant à un véritable supplice, la mode sous l'Empire alimentait les moqueries.

 

Sous l'Empire, les coiffures, les chapeaux changèrent de nom encore plus souvent que les robes, mais en somme il n'y en eut que de deux espèces : le turban et le chapeau...


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